Nous sommes arrivés en Guadeloupe dans un gros avion, nous allions repartir dans le même gros avion, ce n’était évidemment pas suffisant. Pour sentir une île, il faut y arriver en bateau. Nous avions donc prévu une escapade de quelques jours à Marie Galante, une île « galette » de 15 km de diamètre située à une heure de bateau (rapide) au sud-est de la Guadeloupe.
Le ferry transporte une grande majorité de Marie-Galantais qui viennent s’approvisionner en Guadeloupe. On n’est pas ici un touriste au milieu d’une masse de touristes. Cette sensation se confirmera presque partout dans l’île : certes il y a des touristes mais ils restent le plus souvent discrets et on n’a pas besoin de déployer des trésors d’imagination pour photographier des paysages sans intrus (juste vérifier que nos compagnons de voyage ne sont pas dans le champ du grand angle).
Arrivés par la mer, attendus comme des VIPs par notre hôte Mike et sa Harley qui nous escortera jusqu’à notre maison, nous partons aussitôt en exploration sur la route des galets pour tester les amortisseurs de la voiture… Et nous découvrons des plages désertes, protégées par une barrière corallienne. Il fait bon, on a envie de trainer là longtemps…
Je voudrais transmettre par ces quelques photos mon résumé de Marie Galante : une côte, de l’eau claire, du rhum, des moulins (pour broyer la canne, pour faire le rhum), des champs paisibles (où pousse la canne qui sera broyée dans les moulins pour faire du rhum).
Nous reviendrons dans des articles à venir sur le sucre, la distillerie, l’habitation coloniale, et d’autres paysages…
l dit
Mr et Mme ont fait un très beau voyage ….